La rentabilité du spam enfin mesurée

Une récente étude « Spamalytics: An Empirical Analysis of Spam Marketing Conversion » menée par des chercheurs de « l’International Computer Science Institute » et « Berkeley, USA University » à déterminé le retour sur investissement généré par les compagnes de spams du botnet « Storm ». Bien que le taux de réponse par message soit étonnamment bas, il est suffisant pour un spammeur de générer un profit très haut.

spam route

Un taux de conversion de « 0.00001 % » génère « $3.5 million dollars ».

Introduction du document :

Le « taux de conversion » du spam –est la probabilité qu’un e-mail non sollicités arrive à obtenir une «vente» -. Cependant, notre compréhension de cette définition est tout à fait limitée, car aucune étude relative à ce sujet n’a eu de résultats quantitatifs.

Dans cette étude nous présentons une méthodologie pour mesurer le taux de conversion de spam. A L’aide d’un parasite et l’infiltration de l’infrastructure d’un botnet, nous analysons deux campagnes de spam: l’une visant à propager un cheval de Troie, l’autre : le marketing en ligne pour des produits pharmaceutiques.

Avec prés d’un demi-milliard d‘e-mails Spam nous avons identifié

  • Le nombre des Spam délivrés avec succès,
  • Le nombre de ceux stoppé par un filtre anti-spam
  • Le nombre d’utilisateur qui visitent les sites de la publicité
  • Le nombre de «ventes» et «infections».

Dans cette étude, les chercheurs ont piraté le système de commandement et de contrôle du botnet « Storm » et ont ainsi modifié un sous-ensemble de spam déjà envoyé. Le changement redirige les sujet sur des serveurs sous le contrôle [des chercheur], avant ceux appartenant aux « spammer », ainsi les chercheurs peuvent suivre les tentatives de vente. Ils peuvent alors utiliser les dates pour savoir combien de ventes réelles l’ensemble des opérations de spam serait susceptible de générer.

Un des Points intéressants de l’analyse: même avec un petit taux de conversion de « 0,00001 pour cent » de spam à la vente, les spammeurs peuvent toujours faire du profit, mais pas autant que suggéré. Étant donné que les taux de conversion sont minuscule, les spammeurs subissent vraiment des pressions par les contre-mesures, comme filtres anti-spam, listes noires, etc.

L’étude a également documenté clairement la « méthodologie » qu’ont utilisée les chercheurs pour traiter les questions juridiques et éthiques auxquels ils se sont confrontés :

  1. les chercheurs n’ont pas activement envoyé de spam, ou créer de nouveaux spam,
  2. aucune des actions effectuées fondé sur la méthodologie n’a été « intrinsèquement répréhensible »
  3. Il y avait, ils ont essayé de « réduire au « strict minimum » risque de dommage.

Le 2 Emme point tout aussi intéressant des résultats de l’étude est l’implication directe de la qualité de la technologie anti-spam. Les pays avec les taux de conversion de spam le plus bas sont les États-Unis et le Japon. Les deux pays ont le capital investissement le plu élevée en technologies anti-spam. Au début de 2008, les pays « sans » technologies anti-spam semblent être l’Inde, le Pakistan, et de la Bulgarie.

Articles similaires

3 thoughts on “La rentabilité du spam enfin mesurée

  1. Bonjour, Hamza, pourquoi le message sur THC org ne lie vers rien et pourquoi à la place il y a ceci ?

    Les morts se taisent, les vivants ne veulent pas entendre et les survivants ne peuvent pas parler

    Es ce volontaire ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *